Après le Sénégal et l’Afrique du Sud, nous traitons, dans une nouvelle série, de l’histoire du mouvement ouvrier en Égypte. Cette nouvelle contribution poursuit le même but principal que les précédentes : fournir des éléments attestant la réalité bien vivante de l’histoire du mouvement ouvrier africain à travers ses combats contre la bourgeoisie (voir Contribution à une histoire du mouvement ouvrier en Afrique, Revue internationale, N° 145, 2e trimestre 2011)
À la fin de l’année 1899, Lénine écrivait un article intitulé « À propos des grèves », relatif aux grèves qui se développaient alors en Russie
La guerre en Ukraine est, à ce jour, l’expression la plus représentative du chaos impérialiste mondial qui implique, à différents niveaux, les grandes puissances impérialistes, les pays d’Europe occidentale, mais également d’autres pays comme la Corée du Nord, l’Iran… Plusieurs experts de la bourgeoisie, ainsi que l’ensemble des groupes du milieu politique prolétarien, à l’exception du CCI, voient dans cette situation un moment de la marche vers la Troisième Guerre mondiale.
Une critique plus développée des différentes théories écologistes radicales – Critique du « communisme de décroissance » de Saito (Révolution internationale 501, 2024). Nous répondons à l’affirmation de Saito selon laquelle les recherches de Marx sur les questions relatives à l’écologie et aux formes communautaires pré-capitalistes l’ont conduit à abandonner le matérialisme historique et à adopter ce que Saito appelle le « communisme de décroissance ».
Depuis des décennies, les mouvements écologistes attirent à eux de très nombreux "militants" alarmés par l’état de la planète et désireux d’agir contre la détérioration du milieu ambiant qui menace l’existence même de l’humanité. C’est ainsi que, de par le monde, il existe de nombreuses organisations ou partis politiques qui revendiquent un tel combat sans que leur action ait en quoi que ce soit permis de faire avancer la cause de l’écologie, alors même que la situation sur ce plan ne cesse de s’aggraver dangereusement.
La seule solution à la spirale infernale de la destruction environnementale et militaire est de renverser le capitalisme et d’aller vers le communisme. Mais la bourgeoisie n’acceptera jamais la fin de son système, la fin de ses privilèges, la fin de son existence en tant que classe dominante et exploiteuse. Elle tentera de maintenir à tout prix son système obsolète. Seule une révolution mondiale peut mettre fin à cette agonie.
Quoi ? Le communisme ? L’URSS ? Cette monstruosité ? Le régime stalinien était en effet une abomination. Les travailleurs étaient exploités à outrance, toute opposition était férocement réprimée et la militarisation était à son comble. Quant à la nature, le productivisme « soviétique » était synonyme de destruction, de pollution et de pillage. Mais le communisme n’a rien à voir avec les régimes staliniens ! Hier en URSS et en Europe de l’Est, aujourd’hui en Chine, en Corée du Nord et à Cuba, il n’y a pas une once de communisme.
Parce qu’il est une société sans classes et sans exploitation, sans nations et sans guerres, le communisme est la seule véritable solution à la crise écologique. Le communisme est la fin de l’exploitation et du pillage Le capitalisme, c’est l’exploitation.
L’ampleur du désastre écologique préoccupe une part croissante de la population mondiale, en particulier les jeunes. Face au désastre, toutes sortes d’actions citoyennes émergent.

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